Vous savez quoi ?
Une nouvelle polémique a éclaté dans le petit monde merveilleux de l’internet, et cette fois-ci c’est à propos d’un sujet que vous n’aurez jamais imaginé : les fameuses vérifications de comptes sur Twitter! Je m’apprête donc à vous raconter une histoire très intéressante qui pourrait bien être scénario pour un futur épisode des « Feux de l’amour ».
Cela a commencé lorsque notre cher Elon Musk – ça faisait longtemps qu’on ne parlait plus de lui ici -, en bon samaritain multimilliardaire qu’il est, décide d’offrir généreusement des abonnements gratuits au service payant Twitter Blue aux célébrités critiquant la politique actuelle du réseau social concernant ses fameuses vérification.
Mais voilà ! En réaction, certains utilisateurs ont lancé leur propre campagne anti-badge bleu en bloquant tous les comptes avec ce statut. Qu’à cela ne tienne! Pour calmer cet ouragan virtuel imprévu, Elon décida alors d’offrir également ses précieuses petites pastilles gratuites non seulement aux trolls mais aussi à tout autre utilisateur souhaitant flatter son ego numérique… y compris certaines autres stars !
L’affaire prend vite une ampleur incroyable: On commence à discuter de la légalité de cette offre soudaine et, en filigrane, des obligations légales liées aux protections des consommateurs. Peut-on parler ici d’une véritable violation des règles ou simplement d’un énième buzz orchestré par notre Elon international ?
Personnellement, j’adore ce genre d’affaire car cela prouve une fois encore que les plus grands trouducs aussi peuvent créer leurs propres embrouilles.
Toujours est-il que pendant qu’on en débat joyeusement sur tous ces aspects plus fortement juridiques – n’est-ce pas là le reflet désespéré du monde réel transposé dans le cyberespace? -, certains se posent la question cruciale : Et si Twitter revenait tout simplement…à l’ancien système ?
Rappelez-vous! Avant toute cette histoire rocambolesque et kafkaïenne où chacun y met son grain de #SelPoivre, on pouvait arborer fièrement (ou non) un badge bleu attaché au doux nom qui trônait alors au sommet de nos profils. Désormais cependant ce signe distinctif témoignerait surtout du fait que l’utilisateur a juste pris quelques minutes pour confirmer son identité… Rien à voir avec sa qualité intrinsèquement divine, évidemment !
Pourtant je me demande si nous ne sommes pas déjà trop loin dans l’intrigue: La Federal Trade Commission (FTC
) ayant déjà condamné plusieurs acteurs majeurs dont Twitter pour manquements divers concernant notamment les sacrosaintes questions de confidentialité et de sécurité.
Un retour en force aux fondamentaux où la belle époque du badge bleu serait au centre d’un sursaut républicain numérique? Ou bien plutôt une exploration plus avant des frontières étendues entre droits virtuels et réalités légales ?
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